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Ange A.

10 décembre 2011

Simon's Cat (Ou Granite.)


Simon's cat -Santa Claws

 

J'ai un chat.

 

Et ça se passe un peu comme avec le chat de Simon (voir vidéo). A part que ma Granite est un peu plus petite :)  C'était un petit message rapide, parce que cette vidéo (comme toutes les Simon's Cat) m'a énormément fait rire. Et aussi parce que je participe au concours de Noël avec Dailymotion et CanalBlog. Je reviens bientôt avec une photo de la créature (et peut être même plusieurs. Si vous êtes gentils.).

 

 

 

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25 novembre 2011

Premières créa & croquis plutôt (moisis) jolis

Sautoir 1

 

 

Il y a quelques jours on me passait commande...


La commande? Le sautoir présenté en haut que j'ai donc effectivement réalisé de mes petites mains. Comment c'est arrivé? Pourquoi? Pour qui? Ca fait beaucoup de questions héhé, mais j'ai des réponses (ça vous étonne hein). Cela fait quelques semaines maintenant que je suis abonnée à un petit groupe sympathique sur Facebook : Modeuz Troqueuz. S'y retrouvent beaucoup de Rennaises car le groupe a été à la base créé par une Rennaise, et que le bouche à oreille marche plus entre filles d'une même ville au début, que la remise en main propre c'est quand même super pratique, même si un système de co-portage de fringues/bijoux/maquillage se fait sur le système des copines pour les aussi nombreuses damoizelles venant de Nantes Angers Lorient Laval (etc), et les envois par la poste sont également de mise. Notons que nous sommes plus de 1 200 abonnées déjà !

Je fais donc partie de la team Modeuz Troqueuz depuis peu, parce que 1. Je suis pauvre, 2. J'ai des fringues à revendre et besoin de sous donc, 3. Même en étant pauvre j'ai bien envie de m'acheter des trucs sympas et pas chers, 4. Le concept est top et les filles sympas. J'ai donc mis quelques articles en vente, dont une petite barette (voir plus bas) que j'avais faite il y a plusieurs années, sur le même principe qu'une bague que j'avais également faite mais plus vieille encore. Je l'ai mise en vente parce qu'en 4 ans, je ne l'ai pas portée une seule fois cette barette.

Pour le moment rien de fou vous me direz. Mais attendez donc. Arrive un jour où voulant mettre à jour mes articles, je décide d'ajouter en descriptif de la dite barette que si ça en intéresse, je peux réaliser d'autres choses dans le même genre, qu'il suffisait de demander et que je verrais si c'est possible. Quelques jours plus tard, une jolie Modeuz fan de bijoux et surtout de sautoir commente mon article me demandant si un sautoir serait possible. Ni une ni deux, je répons que oui. Et s'en suit moultes aventures pour choisir les perles, se rappeler à quel point c'est cher, tenter de trouver une chainette qui ne fasse pas exploser la fourchette que j'avais proposée à Johanna, mais impossible, aller dans une autre boutique dans un sous sol pour trouver le fil métallique... Retour dans mon chez moi et au travail. Moins d'une heure après, le voilà, le petit sautoir mystère et le premier d'une longue série je l'espère :).

Résultat, je me suis remise à faire des bijoux, je compte essayer de voire pour faire des bracelets (je réfléchis au concept), je sais déjà que je pourrais faire des bagues (sur mesures par contre, me faut la mimine concernée), des sautoirs/colliers/raz du cou, des boucles d'oreilles... Et je pense ne pas me limiter à un seul style ! Alors les enfants, si mon collier vous plait, n'hésitez pas à me demander plus d'infos, me suggèrer des choses, proposer une option, je peux vous en réaliser d'autres et dans pleins pleins de coloris, différents bijoux, avec cordon coton ou chainette métallique, ça sera suivant vos demandes :D Et le tout à petit prix (7€ le sautoir, plus 1€ de frais de port si une remise en main n'est pas faisable ^^). Pensez à vous, pensez aussi à vos cadeaux de Noël que ce soit pour offrir ou vous le faire offrir !

J'attends vos avis (sur tout, mes créations, le design, les couleurs, le concept, le prix...) avec impatience, et je vous montre aussi mes essais couture. Devinette : Qu'est-ce que cette massez curieusement poilue sur ma dernière photo? :)

 

Brtt
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Bague1

13 octobre 2011

Eternelle insatisfaction littéraire.

 

Il y a un début à toute histoire.

<< Je commence à réaliser que ce n'est pas un hasard si nous enseignons toujours l'Art du Combat malgré la paix de ces derniers siècles. >>
                                                                                                                                                                           Thanaï.

Le sol se craquela sous mes pas

 

Il était encore tôt. La plaine parsemée de petits éclats de roche se teintait à peine de vermillon et d’orange et la lueur flamboyante du Soleil de la saison des feuilles mortes commençait à emplir le paysage des particules de feu qui illuminaient l’horizon. Les plumes des grands rapaces qui débutaient leur chasse semblaient s’enflammer sous l’incendie, les transformant en de sublimes météorites au vol calme. Ils assuraient des cercles méticuleux au dessus de cette immense réserve de nourriture qu’était la plus vaste des plaines de Xylenë : la Rammélie. Celle-ci ne se résumait pas uniquement à l’étendue de gravillons gris. Faire le tour de cette contrée en suivant les douces caresses de la brise matinale n’aurait suffit pour en définir l’ampleur et la majesté. Un vent encore tiède pour la saison frôlait paresseusement les petits rochers qui peuplaient l’étendue sèche et plane, qui semblaient s’embraser en cet instant alors que la plaine était habituellement d’un gris morne. Il était probable que la douceur de l’air soit due à la présence d’Erac’Tal, la gigantesque chaîne rocheuse qui séparait la Rammélie du reste des parties habitables de Xylenë, et retenait la chaleur des journées. Ses pics, dont les plus connus étaient Patga, la Petite, et Gata, la Grande, montaient à 105 mètres pour l’une et à un peu plus de 3 500 mètres pour l’autre. Ils s’ornaient par endroits d’une robe d’un blanc éclatant. Pas un nuage ne meublait le ciel habillé d’un orange pastel. Un silence paisible régnait jusqu’aux troncs de l’étendue ombragée et feuillue qu’était Gakhe. On percevait tout juste le délicat frisson des champs de céréales attendant la dernière récolte de l'année. La région était encore endormie.

Mais un vague bruissement sec résonna, se répercutant faiblement sur les milliers de petites roches au nombreuses faces qui s’étalaient sur le sol, troublant le silence. Il s’intensifia, petit à petit, comme s’il se rapprochait. Et ce faisant, on commençait à en deviner la provenance. C'était quelque part, là où le regard pouvait se poser sur les chaînes d’Erac’Tal, là où la nuit étalait encore son règne. Mais un doute persistait malgré tout sur son origine. Les échos perturbaient la localisation. Mais au fur et à mesure il devint certain que quelque chose se rapprochait, et le son se précisa peu à peu. Le crissement des roches les unes contre les autres, ainsi que le bruit mat de la marche pressée d’un animal très familier à cette région de la petite planète. Lentement, une silhouette se profila. Lointaine, floue, aléatoire. Elle avançait toutefois avec une grande rapidité. Mais elle ne devînt concrète et identifiable qu’à une distance vraiment proche, du fait de l’ombre de la chaîne montagneuse qui persistait encore sur l'étendue rocheuse. Ce fut donc sortant de la nuit, et pénétrant dans le flamboiement de l’aube, qu’un cavalier galopant sur sa monture fut distinguable. Ils galopaient à grande vitesse, tellement vite qu'il semblait que l'animal ne touchait pas le sol. Et plus ils avançaient, plus la certitude concernant le sexe du cavalier se faisait. Une silhouette fine et élancée, une attitude souple et décontractée, une tenue d'un blanc éclatant, et également une longue chevelure volant au vent. Soit l'homme qui chevauchait avait une allure très féminine, soit c'était bel et bien une femme.

Montée sur le dos d’un tivyenn, la jeune femme goûtait la fraîcheur de l’air, et s’imprégnait des odeurs nouvelles et riches où se mêlaient le sec de la terre poussiéreuse que soulevait le galop de sa monture, le crissant et râpeux de la craie, le piquant glacial des neiges des hauts sommets, la tièdeur des champs et l’humide et tendre parfum forestier de Gakhe. Elle ouvrit les yeux pour admirer ce paysage si différent de ceux qu’elle avait connu auparavant. La différence majeure était la présence de la nature. Elle venait de la plus grande cité de la partie habitable de Xylenë : An’Tano. Ce nom plutôt ridicule pour une capitale, « L’Humain » en ancien Xeÿnn, inspirait pourtant l’admiration. Il était promesse de gloire, de richesses ou d’une vie meilleure pour une majorité de la population vivant dans de petits villages. Là-bas, le luxe était présent partout, les échoppes et boutiques diverses peuplaient les rues, au moins autant que les passants. On croisait de tous les types d’humains à travers la cité. Et là-bas, les seules preuves que la nature existait bien, étaient les jardins luxuriants des très riches propriétaires, ainsi qu’un immense parc public. Mais ce n’était évidement pas comparable à ce qu’elle voyait, à ce qu'elle ressentait maintenant.

Elle retenait derrière son excitation la fatigue du long voyage qu’elle avait entrepris à travers Xylenë pour venir jusqu’ici. Elle s’était arrêtée bien tard la veille, tenant absolument à traverser la chaîne montagneuse en une seule fois. Et elle s’était levée bien avant l’aube, trop enivrée par la proximité de sa destination finale. Elle s'était alors lancée dans une course contre le levé du soleil. Ce qu’elle venait faire ici, peu de personnes avaient osé en faire la demande, bien rares se trouvaient les gens qui en ressentaient l’envie à vrai dire, et exceptionnels étaient les cas où ces demandes avaient été suivies d’une réponse positive. Elle, elle l’avait eu son oui. Jamais elle n’avait été si heureuse que lors de la réception de sa réponse. Elle sentait qu’elle était de ces gens, ceux qui avaient un destin incroyable, ces personnes d’exception, qui marquaient l’histoire, les mémoires, et qu’elle possédait des capacités non négligeables. Et il lui fallait le meilleur des entraînements. Le meilleur, pour la meilleure de la cité. Et ce qui caractérisait la Rammélie, plus que son paysage unique, plus que sa vue incroyable sur les montagnes, plus que la beauté mystique de Gakhe, c’était le peuple qui y vivait. Les plus grands noms de Xylenë étaient, pour la plupart, originaires de ces plaines. Abyr, Vlex ou encore Phomme, tous de grands Iyds, tous avaient eu une destinée fabuleuse, tous avaient marqué l’histoire de leurs exploits. Et elle voulait en être, ou au moins suivre leur formation, marcher dans leurs pas. Tel était son unique et ambitieux rêve.

 

5 septembre 2011

Fac, comme Faculté. Ou Fesses-Abdos-Cuisses. Ou les deux.

 

 

C'est (presque) la rentré.

 

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Alors on la joue sérieuse. Motivée pour faire rentrer l'emploi du temps Boulot avec l'emploi du temps Etudiante, manger correctement cette année (perdre des kilos en prenant la peine de ne pas manger n'importe quoi n'importe comment peut convaincre n'importe qui de manger correctement. Sauf peut être moi.), faire régulièrement ma vaisselle, m'occuper un peu de mon appart'-orange pour le faire évoluer en appart'-blanc. Et aussi... Vous voyez la pub "Pour votre santé, mangez 5 fruits et légumes par jour" ? Eh bien en Fac de Lettres, c'est une autre version que l'on nous sert... Pour le bon déroulement de vos années de licence, lisez au moins 8 à 10 livres par mois. Alors, je suis aussi super motivée à me farcir La Chanson de Rolan, Tristan et Iseult, Adolescence Clémentine et autres gros pavés bien chiants de chez nous. Et si vraiment je n'y arrive pas, il me restera toujours L'Assommoir, dans un coin, bien caché, pour m'assèner le coup fatal dont je ne pense pouvoir réchapper.

 

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J'aurais plutot bien profité de mes moments de liberté pendant mon premier été de salariée. Qui a bien faillit me coûter mon amabilité, que je perds encore de temps à autres mais je sais toujours où la retrouver. Aller m'encrasser aux Vieilles Charrues avec deux blondes en mode Ksos, passer un petit week end sur Lorient, voir mes parents, m'enfermer entre mes murs avec l'Homme, me dorer la pillule, faire un "régime", glander, reprendre la conduite, m'exiler en bord de Loire... J'aurais d'ailleurs achevé en beauté mes vacances avec ce week end chez les cousins qui m'aura permis d'enfin voir B., deux ans et demi c'est long, très long... Sans parler de toutes ces petites (ou pas) soirées ! :) Un vague récap' en images :

 

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Voilou Voilou. Sur ce, je m'en vais me coucher. J'attends que Battez-vous se termine pour me mettre sous ma couette et câliner mon plaid (si si.), parce que demain c'est Amphi B2 à 8h15 mesdames et messieurs !

 

 

26 août 2011

Pas d'chance, fin des vacances.

 

Oyez Oyez !

 

Je suis rentrée y'a une bonne semaine de mes vacances. C'était gényan ! Pendant ma première semaine, j'étais en Tourraine. Près de Saumur, dans un petit bled qui s'appelle Montsoreau, franchement trop mignon ! Châteaux de la Loire, vieilles pierres, églises, abbayes, marches, campagne, calèche, canoë... C'était reposant, instructif, je m'en suis mis plein les yeux (et la 8Gb, plus de 1 000 photos). Moi qui depuis toute petite adore autant les vieilles choses sorties d'une autre époque, que marcher sur la pointe des pieds, j'étais aussi heureuse qu'un chaton avec sa pelotte de laine :D Ensuite un petit week end en amoureux avec l'Homme, après un mois et quelque sans se voir, puis de retour chez les parents pour la dernière partie de mes vacances avec entre autre une expédition en bâteau dans les îles Glénans... Eau turquoise, grand soleil et baignade au rendez-vous !

Je vous laisse avec quelques photos, une chansonnette, et moi je retourne déprimer...

 

3 Bords de Loire

Bords de Loire

4 Chenonceau

Château de Chenonceau

5 Brézé

Château et vignes de Brézé

6 Roxanne

Roxanne, Ferme du Bois Madame

7 Chinon

Apéro ?!

8 Rigny-Ussé

Rigny-Ussé, Château de la Belle au Bois Dormant

9 Villandry

Jardins de Villandry

La vilaine

Face à la Vilaine

Caraibes

Caraïbes :D

Amoa

A môa !!

Yihee

Bourgeoise à la mer.

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3 août 2011

Ecouter du commercial made in Somewhere

 

Dessin non contractuel*.


Luxurolux



 

* J'ai + de shampoings qui trainent sur le rebord de ma baignoire.
*² Et une poitrine bien plus grosse. Ou pas.

2 août 2011

"Je compte les jours, je compte les heures."

 

Fais moi Valser.

<< Un jour j’ai voulu savoir ce qu’était l’amour. L’amour est là si l’on veut qu’il soit là, il suffit de le deviner derrière la beauté qui l’entoure et entre chaque seconde qui rythme votre vie. Si vous ne prenez pas le temps de vous arrêter, vous risquez de passer à coté. >>
                                                                                                                                                                                                              Cashback.

Psyché

 

   Les grains de poussière en suspension dans l'air tiède se mouvaient doucement, éclairés par un délicat halo de lumière bleutée. On aurait dit qu'ils dansaient, tournant au ralentis, suivant la cadence propre à leur Univers. L'Univers des grains de poussière. Dans une parfaite harmonie ils s'éloignaient et se rapprochaient les uns des autres. Il revêtaient une élégance si fragile que j'osais à peine émettre un souffle, de peur de briser le charme de ce spectacle. Je ne pouvais lâcher des yeux ces centaines de petits points blancs, si lumineux face au noir profond qui régnait dans la pièce qu'ils m'apparaissaient comme des étoiles peuplant un ciel d'encre. Des étoiles emplies d'un amour qui les faisait valser. Beauté iridescente, immatérielle, irréelle...
   Une note claire résonna. Une autre la suivit. L'air se mit à vibrer sous l'assaut des notes, faisant s'agiter les constellations qui peuplaient l'ombre. D'abord ponctuelles, elles se distinguaient tour à tour. Gagnèrent en puissance. Puis commencèrent à doucement se fondre les unes aux autres. Une rivière au cours changeant, parfois clapotant, parfois rebondissant. Mon coeur s'emballa à l'écoute de la mélodie qui emplissait l'atmosphère. Je clos mes paupières pendant un instant, savourant les gouttelettes de la chanson qui s'égaraient par moments. Quand mes yeux furent à nouveau ouverts je fus envoûtée. Les images et les sons s'entremêlaient, flous, nets, incompréhensibles.
   Une main blanche traversa la barrière qui séparait la pénombre de la douce lueur d'un projecteur. Gracieuse. Ailée. Un pied suivit, délicat, presque timide. Une silhouette gracile s'avança dans un mouvement souple. Légère, douce, je me sentais comme une danseuse de ballet. Maladroitement je commençais à danser, esquissant à peine des pas que je ne connaissais pas. Puis mes gestes se firent plus amples, plus précis, plus profonds. Chaque parcelle de mon corps frémissait dès qu'une note s'égrenait. Je percevais les détails les plus infimes de chaque grain de poussière.
   Emportée, je laissais mes bras et mes jambes me guider. J'effleurais du bout des doigts, du dos de mes phalanges, les microscopiques astres luisants, qui s'égaraient de plus belle. Je me sentais fourmillante, à la fois pleine de vie et sur le point de m'évanouir. Plus rien d'autre n'existait. Plus que les battements affolés et pétillants de mon coeur, la chaleur qui courait dans mes membres, l'air caressant ma peau, les points clairs tachetant ma vision, les sautillements de la mélopée. Un immense sentiment de bien-être. De liberté. D'amour.

 

Natacha.

17 juillet 2011

Meow.

 

 

Pas encore morte.


Copie de Ksos

27 juin 2011

Heureusement, il y a Alvalle !

 

Chaleuw Chaleuw !

 

Foutre Dieu, il fait aussi chaud dehors que chez moi. Je sirote du Gazpacho histoire de me rafraichir (et me nourrir "sainement" par la même occasion. Ou au moins essayer.). A côté de ça il y a ce week end fort remplis. Ca va d'un gala à un apéro nocturne, en passant par une journée à deux, un repas froid, une nuit chaude et mouvementée, ainsi que de pipis sur Grand Mère feuillage. Et forcément, une après-midi dans un parc à jouer à la Salope et Paparazzier, forcément. En tous cas on sue bien (donc nous sommes?), je pense que je vais mourir liquéfiée d'ici demain. On chiale tous quand il pleut, mais on rale dès qu'il fait chaud Contradiction !



Psykooootik

 

Sur ce, je vous laisse avec NYAN CAT <3, perso je vais mater Moi, Moche et Méchant.

21 juin 2011

Pourquoi parler quand on peut contempler?

In the Sky

 

Tiftouf

 

Cerise

 

Bourgeon

 

Tronc

 

Lichen

 

Papillon

 

Coton

 

Yellow

 

Cerisier

 

Que Que Natura

 

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Ange A.
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Ange A.
  • Que nous reste-t-il? Remonter, et plonger à nouveau, sombrer dans les tristes abîmes de l'absence... Des larmes qui roulent, coulent, plongent, explosent. Le temps s'écoule, goutte, s'éloigne comme la marée. De simples idées au jour le jour.
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